À base de semi-conducteurs
Il s’agit du film ASCA® – c’est son nom – constitué de composés semi-conducteurs à base de polymère organiques qui assurent la conversion des rayon solaires en énergie électrique. Ils sont semi-transparents en laissant passer 30 % de lumière, et ils peuvent s’appliquer sur différentes surfaces. On pense évidemment aux vitrages qui ne nécessitent pas une transparence totale, mais aussi à différents matériaux opaques, comme des toitures en plaques béton ou composite ondulées ou des façades entières.
Très fins et très légers
Ils sont très fins (0,4 mm) et flexibles puisqu’ils se courbent aussi facilement qu’une pellicule photo, on pense, par exemple, à une radio médicale. Ces films sont aussi très légers (450 g/m2, soit 30 fois moins qu’un panneau classique), ce qui permet de les installer sur des structures elles-mêmes très légères.
Une puissance en progression
Pour les spécialistes du photovoltaïque, on dira que leur puissance est actuellement de 40 Wc/m2 et sera de 80 Wc/m2 dans 2 ans (par comparaison, un panneau photovoltaïque classique – 1,60 m x 1 m) a une puissance de 250 à 300 Wc/m2).
Sur les gratte-ciel de Dubaï
Ce n’est pas encore pour nos maisons individuelles, mais on a dépassé le stade expérimental, puisque les films de chez ARMOR vont équiper prochainement les façades en verre de gratte-ciels à Dubaï !