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Il est passionnant, mais surtout économique, de multiplier soi-même les plants qui fleuriront le jardin, l’intérieur ou le balcon? Selon qu’il s’agit d’annuelles, de bisannuelles, de vivaces ou de bulbeuses, les plantes demandent des soins différents, depuis le semis jusqu’à la floraison.
Un beau jardin d’agrément ne peut être conçu sans un certain nombre de variétés de fleurs. En effet, les arbres et les arbustes constituent le squelette du jardin ; les massifs et bordures fleuris lui donnent vie et couleurs. Ce terme commun de “fleurs” désigne les plantes herbacées de consistance “molle”, par opposition aux tiges lignifiées des arbres ou arbustes, et dont le caractère ornemental réside principalement dans leur floraison. En plantant des espèces dont la floraison s’échelonne sur presque toute l’année, chaque partie du jardin devient source d’intérêt à son tour.
Toutes ces plantes herbacées à fleurs ne possèdent pas un cycle végétatif de même durée. Il faut distinguer, suivant cette durée, trois grands groupes :
• les annuelles ;
• les bisannuelles;
• les vivaces.
Dans certaines conditions climatiques défavorables, de nombreuses annuelles sont parfois traitées soit en annuelles soit comme des bisannuelles. Chacune de ces catégories possède des exigences particulières pour accomplir son cycle végétatif. Il faut donc connaître les modes de multiplication adaptés, et respecter leur période pour les effectuer et obtenir ainsi un beau jardin fleuri.
Les plantes herbacées annuelles germent le plus souvent au début du printemps. Elles se développent rapidement, fleurissent durant l’été ou l’automne et montent à graine. Puis elles dépérissent et meurent dès les premiers froids. Leur cycle végétatif dure une année et ne comporte pas de période de repos.
Elles germent le plus souvent à la fin du printemps. Elles se développent durant l’été et l’automne, fleurissent l’été suivant, montent en graine puis dépérissent. Leur cycle végétatif dure donc de douze à seize mois, répartis sur deux ans, d’où leur nom de “bisannuelles”. Ce cycle comporte une période de repos hivernal. Cet arrêt de végétation les fait parfois confondre avec les plantes vivaces, mais, contrairement à ces dernières qui persistent plusieurs années, les bisannuelles meurent à la fin du second été, après leur fructification. Les plantes de ce groupe sont très appréciées pour leur floraison printanière.
Contrairement aux annuelles ou aux bisannuelles, durent plusieurs années. Elles germent le plus souvent en début d’été, développent tiges et feuilles qui meurent en hiver ; elles reparaissent au printemps, fleurissent puis disparaissent l’hiver suivant et ainsi de suite pendant plusieurs années en place. Quelques plantes vivaces gardent leurs feuilles l’hiver. D’autres plantes, dites “molles”, vivaces seulement dans les pays chauds dont elles proviennent, doivent être rentrées ou protégées des gelées sous peine de voir leur souche détruite. Cela explique que certaines d’entre elles, de reproduction facile, se cultivent en annuelles (impatiens, par exemple).
Les plantes de cette catégorie sont bien entendu des vivaces, mais elles méritent d’être classées à part. En effet, leur mode de multiplication diffère, puisqu’il s’effectue à l’aide de bulbes. Le terme de “bulbe” s’emploie d’une façon très générale pour qualifier un organe souterrain renflé et charnu, qui accumule les réserves nutritives nécessaires au départ de la végétation, et assure ainsi la persistance d’une année sur l’autre. Il peut s’agir de bulbes véritables (tels ceux de la jacinthe, composés d’écailles charnues imbriquées) ou de bulbes solides (par exemple ceux du glaïeul, avec une tige renflée en forme de sphère aplatie), de tubercules (comme ceux de l’orchis ou du dahlia, tiges ou racines souterraines modifiées) et de rhizomes, tiges souterraines renflées et rampantes (ceux de l’iris, notamment). La culture des plantes bulbeuses ne présente aucune difficulté. Celles à floraison printanière se plantent en automne, et celles à floraison estivale se plantent généralement au printemps.
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